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format : 400×100 :
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format 600×150 :
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format : 800×200 :
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Chers lecteurs, c’est avec joie que nous vous annonçons la sortie officielle de notre première anthologie de poésie, troisième ouvrage de la collection oriflammes.
36 poètes participent à ce bel ouvrage dont voici les caractéristiques :
Format : 12,5 x 21 cm
100 pages
collection : oriflammes
65 poèmes
Quelques encres et 4 reproductions couleur de peintures de Ho Younghwa.
Au miroir des mots, la poésie coréenne ne cesse de faire l’éloge de son propre berceau. Pourtant, à la croisée des routes d’Orient et d’Occident, elle demeure une énigme. Comme un juste retour des choses, à travers ce recueil, des poètes naturalistes, mystiques, romantiques, moralistes ou engagés s’adressent aux lecteurs français avec des mots concrets et simples, des images surnaturelles ou symbolistes. Par delà les esthétiques et les idéologies, ces auteurs font rayonner une sensibilité immanente, recouvrant le brouhaha technologique et le mercantilisme de la société mondialisée pour nous ensemencer d’un univers né de tous les horizons à la fois. En un mot : des invites à méditer le passé et l’incandescente beauté des natures, qu’elles soient humaines ou para-humaines.
Soixante-cinq poèmes incantatoires de trente-six auteurs de renom, telle une fenêtre ouverte sur la poésie contemporaine que l’on peut lire en Corée du Sud. Comme un écho aux hallucinations poétiques, des encres et quatre reproductions en couleurs des toiles peintes de Ho Younghwa ornent aussi ce recueil.
Des extraits sont à découvrir dans la fiche catalogue.
Ces derniers jours la Corée du Sud fait parler d’elle pour une bien triste raison, ce qui nous occupe en ce moment est à l’opposé de ces menaces de conflits armés. Célébrer le beau, le vrai, c’est l’une des finalités de la poésie. Avec ce nouveau projet en préparation, nous espérons offrir à nouveau au lectorat français le plaisir de découvrir ce beau pays qu’est la Corée, à travers sa poésie.
Il s’agit donc d’une anthologie de 65 poèmes où 36 poètes coréens s’expriment. Koo Chang-soo et Antoine Coppola ont assuré la traduction. En outre, ce dernier préface ce florilège de poésies. Il nous permet aussi de découvrir et commente certains travaux de Ho Younghwa (œuvre ci-contre), une artiste-peintre coréenne renommée, dont quelques peintures et encres ornent ce recueil. Un feuillet central accueillera quatre reproductions couleurs de ses toiles.
Ce bel ouvrage trouvera sa place dans la collection Oriflammes, il comptera 100 pages et sera disponible d’ici à quelques semaines au prix de 10 euros.
Suivre l’exemple de la rivière du crépuscule, méditer sur un nuage, écouter le conte de la fleur, les avertissements des cigales, ou dire simplement ce qu’on a sur le coeur.
À travers sa poésie Lee Gil-won observe le quotidien avec un humour et un franc-parler particulier, un peu à part de la mouvance naturaliste moderne. Il aime célébrer les beautés de la nature, visibles ou mystérieuses comme autant de manifestations organiques de la société.
Avec ce recueil, il convie le lecteur à se nourrir d’une poésie de l’instant vivant, des connivences tristes, des vérités de l’existence ou de la joie hédoniste.
La rivière du crépuscule se compose de cinquante poèmes de Lee Gil-won, traduits pour la première fois en français, illustrés par une trentaine de photographies d’Antoine Coppola.