Archives par mot-clé : tradition

L’art du cinéma coréen de Antoine Coppola disponible au format papier

C’est avec joie que nous vous annonçons que L’art du cinéma coréen de Antoine Coppola est disponible aussi au format papier. L’ouvrage compte 192 pages dont plusieurs en couleurs.

Le quatrième de couverture :

« Pour continuer le film, le faire vivre hors de la salle et hors du “chaos” émotionnel de sa vision, il est possible de penser et de mettre des mots sur cette pensée »

Dans cet ouvrage, composé de douze articles et une interview, Antoine Coppola nous livre sa pensée sur des œuvres audiovisuelles coréennes et souhaite aller au-delà des discours promotionnels qui ont suivi l’émergence internationale de ce cinéma.

Mine d’informations et d’explications, ces articles ne sont pas regroupés de façon chronologique, mais de manière à se faire écho dans le temps autour de sujets communs. Ils nous montrent, par exemple, comment le cinéma coréen répond ou s’empare du thème des vampires, des zombies, de la persistance de la tradition, de l’écologie, du film noir, ainsi que des relations entre les Corées du Sud et du Nord.

Cette compilation nous plonge dans les œuvres des réalisateurs Kim Ki-young et Kim Ki-duk, dans des films tels que Burning, Thirst, Minari, The Net, Serve the People… ou dans la série télévisée Squid Game.

Pour le commander  au prix de 14,00 € : https://sombres-rets.fr/art-cinema-coreen-coppola

Kim Won-gil

Né près de Jirye non loin de la ville de Andong dans la province du Gyeongsangbukdo, Kim Won-Gil a étudié la littérature anglaise et coréenne à Séoul. Après avoir reçu le prix « New Poet Award », décerné par la revue Monthly Literature, et la parution de sa première collection de poèmes, Gaewan (Éveil), remarquée par le ministère de l’Éducation, il devient professeur de littérature coréenne. Après l’engloutissement de sa ville natale lors de la construction d’un barrage, il quitte l’enseignement et vient habiter l’une des rares maisons qui subsistent sur la montagne toute proche. Il y fonde la communauté de Jirye où il accueille, en résidence, des artistes qu’il aide à promouvoir la culture coréenne traditionnelle. Il obtient le prix culturel de la province du Gyeongsangbukdo en 1984 pour son deuxième livre de poèmes, Je ne suis par encore habitué à la solitude. Il publie, en 1993, Bouquet d’adieu, ainsi qu’une compilation de textes humoristiques, L’humour de Andong, en 2002.

Le site de Jirye Artists’ Colony : http://www.jirye.com/

Publications :

Recueil de poèmes: