L’art du cinéma coréen de Antoine Coppola

3,90 14,00 

Auteur : Antoine Coppola
Type d’ouvrage : essai sur l’audiovisuel
Format : 15 x 21cm
Environ : 192 pages
ISBN : 978-2-918265-36-8 (papier)
ISBN : 978-2-918265-37-5 (ebook)

Parution : 12 janvier 2023 (ebook)
Parution : 3 juillet 2023 (papier)

Description

 

 

 

 

 

 

 

Quatrième de couverture :

« Pour continuer le film, le faire vivre hors de la salle et hors du “chaos” émotionnel de sa vision, il est possible de penser et de mettre des mots sur cette pensée »

Dans cet ouvrage, composé de douze articles et une interview, Antoine Coppola nous livre sa pensée sur des œuvres audiovisuelles coréennes et souhaite aller au-delà des discours promotionnels qui ont suivi l’émergence internationale de ce cinéma.

Mine d’informations et d’explications, ces articles ne sont pas regroupés de façon chronologique, mais de manière à se faire écho dans le temps autour de sujets communs. Ils nous montrent, par exemple, comment le cinéma coréen répond ou s’empare du thème des vampires, des zombies, de la persistance de la tradition, de l’écologie, du film noir, ainsi que des relations entre les Corées du Sud et du Nord.

Cette compilation nous plonge dans les œuvres des réalisateurs Kim Ki-young et Kim Ki-duk, dans des films tels que Burning, Thirst, Minari, The Net, Serve the People… ou dans la série télévisée Squid Game.

Informations complémentaires

Poids ND
Dimensions 15 × 21 cm
Format

livre papier, ebook

Extrait de la chronique de Jean-Claude De Crescenzo sur le site Keulmadang :

« … Antoine Coppola est sans nul doute le meilleur spécialiste du cinéma coréen, nord et sud, même si le nord est moins prolifique. Professeur de cinéma à l’université de Sunkyungwan, cinéaste, il est surtout un critique sans concession comme en témoigne l’introduction de son livre :   « Analyser un film ne finit pas comme le disait Jean-Louis Leutrat à toujours « laissé échapper l’essentiel » ». Et plus loin : « Ce qui nous intéresse parle avant tout de ce qui est très directement sur l’écran et dans la bande son« , suivi d’une plus mystérieuse déclaration :  « et vient percuter la pauvre mais consentante psyché du spectateur et de la spectatrice ». Mais plus loin encore : « Le film est le résultat de multiples volontés », déclaration s’inscrivant dans la tradition de l’intervention active du spectateur comme du lecteur.

Le postulat est posé, la suite d’articles illustre un point de vue constituant en quelque sorte l’épistémologie du chercheur. Ce qui est remarquable, c’est que l’analyste ne résume pas son propos autour du film en tant que produit d’images et de sons, mais aussi à l’environnement, affirmant ainsi que le film ne naît pas d’un désert social. Point particulièrement important en Corée dont on connaît la propension à faire de l’actualité un point d’ancrage, facilité par la capacité toute coréenne à décider rapidement et à produire tout aussi rapidement. Et cette analyse est sans concession… »

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