Park Je-chun est l’un des chefs de file du courant spiritualiste proche du bouddhisme Son (Zen). Il a reçu le Modern Literature Prize et a publié de nombreuses anthologies de ses poèmes tels que Les poèmes du Chuangtze, La Méthode Mentale, Les poèmes de Laotze, Ton nom et mon poème et Dans le Douzième Enfer de l’Etoile Bleue.
Profondément influencé par le bouddhisme coréen de tendance Son (Zen) et par la mythographie taoïste, il est un savant connaisseur de la littérature classique coréenne et orientale tout autant que de la littérature occidentale.
Ses poèmes se caractérisent par des images puissantes qui émergent peu à peu d’un tourbillon obscur, comme une soudaine intuition, une révélation Zen, à travers le ressassement de mots et de figures d’une simplicité obstinée.
Une grande part de son inspiration, même si elle est puisée à la source de la culture coréenne, demeure au cœur de sa propre personnalité, de ses questionnements qu’on qualifierait en France « d’existentialistes » s’ils n’avaient pas un goût de nihilisme proprement coréen.
Publications :
Recueils de poésie :
- Dharma poèmes, recueil de poésie “zen”.
Poèmes :
- Jeu d’imagination, Anthologie de poésie coréenne.
2 réflexions sur « Park Je-chun »