La rivière du crépuscule, Lee Gil-won

10,00 

Auteur : Lee Gil-won
Type d’ouvrage : recueil de poèmes
Format : 12,5 x 21cm
Environ : 88 pages
ISBN : 978-2-918265-03-0

Description

 

 

 

 

 

 

 

Quatrième de couverture :

Suivre l’exemple de la rivière du crépuscule, méditer sur un nuage, écouter le conte de la fleur, les avertissements des cigales, ou dire simplement ce qu’on a sur le cœur.

À travers sa poésie Lee Gil-won observe le quotidien avec un humour et un franc-parler particulier, un peu à part de la mouvance naturaliste moderne. Il aime célébrer les beautés de la nature, visibles ou mystérieuses comme autant de manifestations organiques de la société.
Avec ce recueil, il convie le lecteur à se nourrir d’une poésie de l’instant vivant, des connivences tristes, des vérités de l’existence ou de la joie hédoniste.

 

La rivière du crépuscule se compose de cinquante poèmes de Lee Gil-won, traduits pour la première fois en français, illustrés par une trentaine de photographies d’Antoine Coppola.

Photographie de couverture : Antoine Coppola

 

Informations complémentaires

Poids 115 g
Dimensions 12,5 × 0,8 × 21 cm

Extrait de la chronique de Cécile Desbrun sur son blog CulturELLEment vôtre

“… Lee Gil-won est un poète qui s’intéresse beaucoup à la nature et aux mouvements plus ou moins perceptibles qui agitent l’âme humaine. Cela se sent dès qu’on a le livre en main et qu’on voit cette photo d’Antoine Coppola en couverture. Le titre du recueil (qui est celui du premier poème) illustre bien cette dimension spirituelle qui parcourt l’oeuvre du Coréen et certains des plus beaux poèmes de ce volume sont d’ailleurs ceux où l’auteur, en osmose avec son environnement, se sert de celui-ci pour traduire ses états d’âme…”

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Extrait de la chronique de Sophie sur son blog Chaise longue et bouquins

… On y retrouve des sentiments forts sur les effets de la guerre et sur les forces que chacun trouve en soi pour se relever. La nature est mise en valeur et considérée comme une personne à part entière et l’on voit la gente canine sous un autre aspect. L’auteur utilise à la fois de l’humour noir et du réalisme dans ses poèmes, ce qui permet de marquer le ressenti rapidement. C’est une belle découverte, à lire doucement, pour mieux s’imprégner…”

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Extrait de la chronique sur Naturellement Littérature

… Le point de vue de cet écrivain est parfois très noir et très attaché à des éléments communs de la vie quotidienne, ainsi il parle du comportement humain parfois incohérent ou mauvais en se plaçant d’un point de vue animal, que se soit les cigales, le chien ou l’aigle, Lee Gil-won nous offre un aperçu des comportements humains, un reflet (négatif? mais toujours avec une pointe d’espoir) sur la société humaine et probablement sur la société coréenne tout d’abord…”

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Extrait de la chronique de Léna sur le portail  Accros & Mordus de Livres

… Son écriture est fluide, calme, agréable. Ce sont des poèmes modernes, sans vers, mais qui ont pour but de nous transmettre un petit quelque chose; un nouvel environnement, la Corée . Là-bas les gens ne pensent pas pareils, ils ont une autre façon de vivre et c’était intéressant de le découvrir !…”

 

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