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Salem Florent

Florent Salem

Florent Salem est un jeune auteur né dans les Alpes fin 1988. Il grandit à proximité de certains lieux où prend place l’intrigue du roman Frankenstein, avant de s’en aller explorer d’autres territoires pour ses études.

Lecteur forcené dès l’enfance, avide de sciences, d’aventures picaresques et de connaissances sur le monde environnant, il déclare rapidement que l’écriture sera son terrain de jeu. Ce qui n’était qu’un passe-temps devient au fil des ans une passion qu’il se fait un malin plaisir de nourrir. Sa fascination pour les fêlures de l’individu, celles qui se révèlent lorsque chacun est confronté à ses propres contradictions ou à l’absurdité de l’existence, achèvent de le faire basculer du côté obscur de la plume.

Florent Salem aime à se perdre dans des lieux inconnus tant réels que fictifs (dans des endroits connus aussi, mais ça, c’est une autre affaire !), afin de mieux cerner et conter l’envers du réel. Fort heureusement, ce flâneur cynique parvient toujours à revenir de ses pérégrinations hasardeuses, la besace pleine d’histoires.

Il a publié Où tombe la pluie se morfondent les hommes, dans le webzine Les Songes du Crépuscule n°5 et Sentience, en 2008 dans le webzine Univers 7. Son poème Prunier d’automne figurera en 2014 dans le magazine Cactus Calamité 13.

Son site web : http://silexchronicles.wordpress.com

Publications :

Nouvelles :

  • À l’ouest des menteries, anthologie Étranges Voyages, sous la direction de Cyril Carau, à paraître

Jaouen Marie

Il est toujours possible de porter son regard sur l’horizon, quand bien même il faut pour cela l’imaginer, et Marie Jaouen se plait à le faire.
Elle écrit parce qu’elle est incapable de s’arrêter tout à fait, pour mille autres raisons aussi, et avec déraison. Elle a notamment écrit Eudes pour le fanzine Station Fiction n°5, et L’Alouette des Météores pour le webzine Mort Sûre. Elle dessine, programme, grimpe aux arbres et s’est promis de s’entourer d’animaux dotés de cornes, si un jour enfin ses études – pour l’heure, en classe préparatoire scientifique – la laissent en paix.
Si la beauté des crêtes alpines n’est plus à remettre en cause, elle n’hésite pas à les délaisser parfois pour admirer ceux qui l’entourent. Parce que c’est en observant avec patience qu’elle découvre combien ils sont formidables. Parce que seuls eux ont su lui inspirer Le Navire de l’horizon.
Parce que, finalement, l’avenir se vit au présent, et le bonheur aussi.

Site internet : http://www.spes-alpha.netai.net

 

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