Le Postier, Mun Dok-su
10,00 €
Auteur : Mun Dok-su
Type d’ouvrage : recueil de poèmes
Format : 12,5 x 21cm
Environ : 80 pages
ISBN : 978-2-918265-15-3
Description
Quatrième de couverture :
« Tu expérimentas les bombardements
Qui divisèrent le Sud du Nord.
Tu as connu les cris intérieurs
Qui disaient : « la guerre est une erreur.
Ne tirez pas ! »Dans son long poème de presque cinq cents phrases, le poète met à jour les racines de l’irrationalité des guerres, des massacres, de la terreur et de tout ce qui relève de l’aliénation anti-humaniste. Et ceci, pour les transformer en images concrètes. Les volontés et l’Histoire des hommes sont concentrées au cœur de symboles, de métonymies et d’ironies récurrentes tout au long du récit. Le Postier peut être considéré comme une synthèse des différentes expériences poétiques tentées par Mun Dok-su depuis plus de quarante ans.
Ce recueil s’agrémente de neuf photogrammes extraits du documentaire Coyos de Antoine Coppola.
Image de couverture : Elie Darco.
Informations complémentaires
Poids | 104 g |
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Dimensions | 12,5 × 0,8 × 21 cm |
Extrait de la chronique de Lucie Angheben dans la revue de littérature coréenne Keulmadang
“… Mun Dok-su nous offre un poème intelligent, fortement ancré dans notre réalité de par ses multiples références (qui pour la plupart, ne nous sont pas inconnues), qui montre l’horreur du monde sans détournement, mais toujours avec le recul nécessaire de l’humour…”
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Extrait de la chronique de Marly dans son blog littéraire Les Chroniques de Marly
“… Grâce aux comparaisons et aux images tenant de l’Histoire commune de notre société, l’auteur arrive à faire passer un message universel, en nous faisant visualiser des images facilement imaginables. Grâce à ces références empruntées à toutes les cultures, il sait donner une dimension intemporelle à des bribes de notre Histoire, autant de notre pays que des autres…”
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Extrait de la chronique de Lord Bernin dans le blog littéraire Quoi lire après ?
“… À la fois de son temps et de son époque, Le Postier s’affirme comme une œuvre universelle et intemporelle. Le poète y parvient grâce à son vivant témoignage, lui qui a participé à cette guerre, où il fut blessé, mais aussi au moyen des nombreux emprunts à la mythologie ou l’histoire chinoise et coréenne (Histoires des trois Royaumes, la guerre d’Imjin, le coup d’état du 11 juin 1455 du prince Suyang), ainsi qu’à ceux d’autres histoires ou cultures (l’obélisque de Luxor, le Parthénon, les goulags soviétiques, le 11 septembre)…”
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