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L’art du cinéma coréen de Antoine Coppola disponible au format papier

C’est avec joie que nous vous annonçons que L’art du cinéma coréen de Antoine Coppola est disponible aussi au format papier. L’ouvrage compte 192 pages dont plusieurs en couleurs.

Le quatrième de couverture :

« Pour continuer le film, le faire vivre hors de la salle et hors du “chaos” émotionnel de sa vision, il est possible de penser et de mettre des mots sur cette pensée »

Dans cet ouvrage, composé de douze articles et une interview, Antoine Coppola nous livre sa pensée sur des œuvres audiovisuelles coréennes et souhaite aller au-delà des discours promotionnels qui ont suivi l’émergence internationale de ce cinéma.

Mine d’informations et d’explications, ces articles ne sont pas regroupés de façon chronologique, mais de manière à se faire écho dans le temps autour de sujets communs. Ils nous montrent, par exemple, comment le cinéma coréen répond ou s’empare du thème des vampires, des zombies, de la persistance de la tradition, de l’écologie, du film noir, ainsi que des relations entre les Corées du Sud et du Nord.

Cette compilation nous plonge dans les œuvres des réalisateurs Kim Ki-young et Kim Ki-duk, dans des films tels que Burning, Thirst, Minari, The Net, Serve the People… ou dans la série télévisée Squid Game.

Pour le commander  au prix de 14,00 € : https://sombres-rets.fr/art-cinema-coreen-coppola

Parution de L’art du cinéma coréen de Antoine Coppola

Nous sommes heureux de vous annoncer la parution de  L’Art du cinéma coréen : analyses et commentaires de Antoine Coppola

 

Le quatrième de couverture :

« Pour continuer le film, le faire vivre hors de la salle et hors du “chaos” émotionnel de sa vision, il est possible de penser et de mettre des mots sur cette pensée »

Dans cet ouvrage, composé de douze articles et une interview, Antoine Coppola nous livre sa pensée sur des œuvres audiovisuelles coréennes et souhaite aller au-delà des discours promotionnels qui ont suivi l’émergence internationale de ce cinéma.

Mine d’informations et d’explications, ces articles ne sont pas regroupés de façon chronologique, mais de manière à se faire écho dans le temps autour de sujets communs. Ils nous montrent, par exemple, comment le cinéma coréen répond ou s’empare du thème des vampires, des zombies, de la persistance de la tradition, de l’écologie, du film noir, ainsi que des relations entre les Corées du Sud et du Nord.

Cette compilation nous plonge dans les œuvres des réalisateurs Kim Ki-young et Kim Ki-duk, dans des films tels que Burning, Thirst, Minari, The Net, Serve the People… ou dans la série télévisée Squid Game.

 

Pour le commander l’Epub au prix de 3,90 € : https://sombres-rets.fr/art-cinema-coreen-coppola

 

 

 

 

Kim Yang-shik

kim yang-shik

La poétesse Kim Yang-Shik a fait des études de littérature anglaise et de philosophie indienne à Séoul. Elle commence à publier dans les années 1970 avec les poèmes de Legend of Chongup-Fusa en 1971. Les années 1990 sont particulièrement riches en publications poétiques : To Grass Flowers, Grass Leaves en 1992 ou Hymn Of elegy On the Tomb Of An Arm en 1999, par exemple et They Are never Lonely qui est un recueil de poèmes rédigé en anglais et en coréen. En 2009, elle fait paraître en Corée A Floating Cloud In The Distant Sky. Plusieurs de ses ouvrages ont fait l’objet d’une ou plusieurs traductions : Hymn... a été traduite en chinois et en russe, tandis qu’une anthologie intitulée Selected Poem of Cho-ee Kim Yang Shik a été publiée a Taïwan en 1997. Tandis que A Floating Cloud… était traduit en japonais et qu’une sélection de poèmes sortait en Hindi sous le titre Day Breaks en 1999, une autre anthologie a paru en suédois : De Ar Aldrig Ensamma.

Kim Yang-Shik est aussi l’auteure de trois essais : An Encounter With foreign Poets en 1978, Along The Stream Of Ganges en 1990 et Spring, Summer, Autumn and Winter en 2000. Elle a aussi traduit, entre autres, de l’hindi au coréen le poète Tagore dans plusieurs ouvrages dont Gitanjali en 1982 et Tagore Last Poems, ainsi qu’un essai de K. Kripalani intitulé Modern Indian Literature.

Très active, elle a participé à de nombreux congrès partout dans le monde (Inde, Espagne, États-Unis, Chine, Thaïlande, Russie, Belgique, etc.) autour de Tagore ou de la poésie et de la culture indienne. Elle a reçu plusieurs prix littéraires dont le Mse Of World Poetry du deuxième congrès des poètes à Taipei en 1973 et le PEN Literary Award du Korean PEN Club de Séoul en 2002.

Elle est actuellement membre de l’International PEN-Korean Center, présidente de la Tagore Society Of Korea et directrice du Indian Art Museum de Séoul.

 

Publications :

Recueil :

  • India, recueil de poésie coréenne, collection Oriflammes, mai 2014.

Parution de India de Kim Yang-skik

Chers amateurs de poésie coréenne, c’est avec beaucoup de plaisir que nous annonçons la sortie officielle de India de la poétesse Kim Yang-shik.

1couverture_india_ptCe recueil de 104 pages, avec une couverture avec des rabats, est à commander au prix de 10 euros dans notre boutique.

Voici la présentation de l’ouvrage figurant sur le quatrième de couverture :

L’œuvre de Kim Yang-shik se situe dans une culture vaste comme le monde au travers d’une sensibilité guidée par la sensualité. Que ce soit en Inde avec le poète Tagore ou les enfants des rues, au Canada, en France avec Chagall ou en Corée son pays natal, les poèmes de Kim ont la fraîcheur d’un regard piégé dans les profondeurs d’un cruel désespoir.

À l’apaisement de la douleur de vivre en jouant les équilibristes sur un fil tendu au-dessus de l’abîme ; à la traversée des ténèbres qui enveloppent tant de ses poèmes, accrochés telle une demi-lune dans un ciel sur un tableau de Chagall ; à la fulgurance cruelle des passions pour les hommes et pour les instants où les sens exultent : voici ce à quoi nous invite la poésie de Kim Yang-shik.

Ce recueil, assorti de dix encres, permet de découvrir la poétesse coréenne au travers d’une soixantaine de poèmes traduits pour la première fois en France.

Des extraits et autres informations sont disponibles sur la fiche du livre.

 

Un poème de Choi Keum-nyu dans le Muze n°74

Couvmuze15-copie1-915x1024Pour son numéro d’hiver, Muze, la revue culturelle au féminin de Bayard, vous offre 5 dossiers thématiques inédits :

  • ACTU : Cinéma et Radio – Le come-back de Belle et Sébastien.
  • MONDE : Corée – La Corée, pays du matin trépidant.
  • SOCIÉTÉ : Migrantes – Étonnantes migrantes, les héroïnes des temps modernes.
  • EGO : Se raconter – L’expression du soi à l’heure actuelle, à travers les arts et la littérature.
  • ATELIER D’ÉCRITURE : Écrire historique grâce aux conseils de Denis Bouchain, éditeur chez Plon.

Dans son dossier consacré à la Corée, en page 56, se trouve un poème de Choi Keum-nyu, intitulé : Mon corps aussi porte des codes-barres, extrait de son recueil Lueurs poétiques, paru chez Sombres Rets en juin 2011. Stéphanie Janicot  et l’équipe de la revue Muze offrent aux lecteurs un exemple de cette modernité qui sait orner cet art majeur qu’est la poésie en Corée du Sud.

Pour retrouver le sommaire complet de cette très belle revue de 176 pages, rendez-vous sur le site ou la page facebook de Muze. Muze est disponible en librairie, chez vos marchands de journaux et à la commande sur leur site.