Dharma poèmes, Park Je-chun

10,00 

Auteur : Park Je-chun
Type d’ouvrage : recueil de poèmes
Format : 12,5 x 21cm
Environ : 80 pages
ISBN : 978-2-918265-02-3

Description

 

 

 

 

 

 

 

Quatrième de couverture :

La poésie coréenne est mal connue en France. La Corée est pourtant le pays des poètes depuis plusieurs siècles. Aujourd’hui encore, les jeunes coréens sont des lecteurs qui vénèrent la poésie, et les poètes sont considérés comme des hommes doués d’une sagesse de la vie que nul ne peut leur contester. La tradition, la langue et la culture coréenne étaient déjà porteuses du virus poétique… la société moderne, sa technologie, n’ont pas effacé la tradition poétique, elles l’ont à peine transformée.

Nous présentons, dans ce livre, pour la première fois en français des poèmes du célèbre Park Je-chun, figure centrale du courant actuel de la poésie spiritualiste d’inspiration bouddhiste. Une introduction à ces poèmes présente l’histoire de la poésie coréenne et son rôle dans la société.

Une vingtaine de calligraphies signées Park Jino, artiste et fils du poète, illustrent cet ouvrage.

Illustration de couverture : Park Jino

Informations complémentaires

Poids 105 g
Dimensions 12,5 × 0,7 × 21 cm

Extrait de la chronique de Lucie Angheben dans la revue KeulMadang

« … Le poète nous dit son incompréhension du monde, il nous pousse à nous poser cette même question qui le tracasse : que fais-je ici ? Existentialisme, mais à l’orientale, puisque comme le titre du recueil le suggère, c’est du dharma qu’il s’agit ici. « Ce que tu vois est un mirage » nous affirme Park Je-chun dans son poème « Gosan » (p.43)… »

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Extrait de la chronique de Tinusia sur son blog Marque Pages

« … Ses poèmes m’ont profondément touchée, parce qu’il sont empreints de « vérités », de ces vérités qui n’appartiennent qu’à nous. De ces vérités que nous portons au fond de nos cœurs, au fond de nos âmes, au fond de nos vies… »

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Extrait de la chronique de Saphoo pour son blog Mot à  Mot

« D’emblée on ressent une certaine interrogation du poète face à ce monde, une certaine douleur et révolte, pour rejoindre le rêve, évocation de la nature, lumière, mer, et tant de belles images poétiques comme : Aujourd’hui j’ai mangé à satiété la clarté de la feuille de mots comme des sons d’oiseaux. Et les paroles de l’eau, ni visibles ni audibles… »

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Extrait de la chronique de Mélopée pour son blog Mélopée Lit

« Et ce recueil très coloré s’est révélé une invitation au voyage trés appréciée et plus exactement une pause zen au milieu des préoccupations urbaines. C’est effectivement une succession de petits textes, tous plus dépaysants les uns que les autres qui nous proposent un autre aspect de la nature, une autre vision du monde dans une sorte de quiétude méditative… »

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Extrait de la chronique de Edea pour son blog Le grimoire d’Edea

« Je n’ai étudié que des poètes français au lycée et à la fac, (Ronsard, Apollinaire deux fois, Yves Bonnefoy) je cherchais donc le dépaysement. Et je l’ai eu ! C’est une poésie vraiment très différente de celles que j’ai lues. J’ai été séduite par ces poèmes, par leur douceur, par le côté « zen » de Park Je-Chun et par les calligraphies de son fils, présentes à côté de chaque poème. C’est vraiment un recueil très agréable à lire à haute voix, très étrange, très surprenant.… »

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La chronique de Cevrine pour son blog Melancholia

«  CE QUE J’EN AI PENSÉ :  Je dois l’avouer, je ne suis pas familière de la lecture de poésie. Aussi j’ai saisi l’occasion du partenariat de lecture proposé par Blog-o-Book et les Éditions Sombres Rets (merci à vous) pour m’en approcher. La 4ème de couverture m’a donné envie de m’y plonger et l’alliance des textes d’un père avec les illustrations de son fils ont fini de me convaincre.

Premier point, la préface. J’y découvre l’importance que revêt la poésie dans la culture coréenne et la signification de « Dharma »… le cadre est dressé.

Par le suite, je me suis laissée imprégner par ces poèmes. Certains me touchant plus que d’autres.

Petit bémol cependant, je pense que ma méconnaissance de la culture coréenne m’aura fait passer à coté de certains écrits, me laissant de glace voir parfois perplexe à leur lecture.

EN RÉSUMÉ : Ouvrage accessible même à une novice en la matière telle que moi, malgré l’inconnu rencontré (peut être est ce cela le vrai dépaysement…) . Je regrette cependant que la traduction fasse perdre la sonorité et la rythmique des phrases.« 

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