Oreggia Marc

Marc Oreggia nait en 1970 de parents pianistes virtuoses. Il ne développe aucun don musical, contrairement à sa jeune sœur et à son frère aîné, dont il est un clone raté. Ne sachant pas chanter, il décide donc d’écrire. Il grandit à Toulon, une ville rendue célèbre par ses consternantes dystopies. La nouvelle de la mort du président Pompidou en 1974 traumatise à vie cet enfant fragile et téléphage. Il rate par un désastreux concours de circonstances son baccalauréat en 1987, et est enlevé par un vaisseau Sh’kar à la sortie de l’oral de rattrapage. Il parvient à s’évader de la planète Sharkass quatre ans plus tard et reprend ses études, mais avec beaucoup de méfiance. En 1999, il prête serment d’avocat et se consacre depuis lors à la défense des sans papiers car, tout en écrivant, il faut bien vivre. Il travaille actuellement sur un projet de space opera définitif. Marc vit une relation osmotique avec Isabelle, une humanoïde aux yeux verts. Il a appelé son fils Hugo (car Nébula est un prénom de fille).

 

Publications :

Nouvelles :

Nittis Michel

Michel Nittis est né à Marseille en 1955. Il passe son enfance entre sa ville natale et Saint-Zacharie dans le Var. Pendant sa jeunesse, il exerce plusieurs métiers, s’engage un temps dans l’Armée de l’Air. Il est aujourd’hui informaticien. Marié, deux filles.

Michel Nittis écrit peu et ne se revendique pas écrivain. Un terme un peu suspect pour lui. L’angoisse de la page blanche, il ne connaît pas. Il cherche à publier quand il estime que ça en vaut le coup. Sinon, il se contente de laisser venir, en appliquant le célèbre don’t try (n’essaye pas).

Son seul ouvrage, à ce jour, était un recueil de nouvelles auto-édité en 1995 (Odieux inconnu) et qui a fait l’objet d’une recension dans le journal Le Méridional (aujourd’hui La Provence) de l’historien marseillais Gabriel Chakra.

Avec Avant que tout ne recommence, l’auteur choisit la science-fiction pour imprimer sa sensibilité d’adulte sur l’élan de son enfance.

Ses Références :

BD : Tintin, Alix, Dani  Futuro

SF : les classiques américains et Solaris de Stanislas Lem.

Film SF : Blade Runner.

Films : Cinéma italien de la grande époque et particulièrement Parfum de femme de Dino Risi.

Littérature : l’œuvre de Charles Bukowski.

Philosophie : un faible pour Max Stirner.

Ses publications :

Mesplède Richard

Né dans les Landes, au solstice d’hiver 1975. Absorbé très tôt par la littérature fantastique et les univers imaginaires en général, il se découvre une passion pour les histoires, et commence à écrire à l’âge de 15 ans. Rédacteur en chef du fanzine Cadavrexquis de 1995 à 2003, il apporte aujourd’hui sa contribution à différents supports de littérature « de mauvais genre », explorant sous toutes leurs formes les thèmes de la S.F., de la fantasy, et du western, tout en travaillant à l’écriture d’un ambitieux cycle de romans.

Edités dans différents « zines », quelques-uns de ses textes ont été également publiés au sein d’anthologies. C’est le cas de Dyslexies, ou encore Assassin. En outre, il est l’auteur des romans Sourtha et Les Terres Promises, écrits à partir de l’univers d’Orobolan et des contes de Mestr Tom. Un troisième opus de cette série est actuellement en préparation…

Parallèlement à sa vie d’écrivain, il est animateur social en maison de retraite, et vit actuellement à Bayonne avec sa compagne et sa fille.

Son blog : http://richard.mesplede.over-blog.com/

 

Publications :

Nouvelles :

  • Le dernier voyage, anthologie Étranges Voyages, sous la direction de Cyril Carau, à paraître
  • Quinte Flush, anthologie Mystères et Mauvais Genres, dirigée par Elie Darco
  • Gardien de nuit, anthologie Le monde de la nuit, dirigée par Cyril Carau

Nicolas Christophe




Christophe Nicolas est né en 1974 à Alès, dans le sud de la France. Il vit actuellement à Barcelone où il partage son temps entre la musique et l’écriture.

Il a publié plusieurs nouvelles aux éditions de l’Oxymore, dans Elegy… Son premier roman (Un Autre, thriller fantastique) est paru en 2010 aux éditions du Riez.



Publications :

Nouvelles :

Park Jino

Park Jino est un artiste coréen : Peintre, infographiste, vidéaste, créateur de performances.

Jino est le peintre de ses cauchemars éveillés. Il dit commencer par écrire et finir par la création d’une image. Son travail est un voyage dans le monde onirique grâce notamment à la performance vidéo.

En cela son attention artistique porte sur la révélation de l’invisibilité. Dans ses oeuvres audiovisuelles, il interprète lui-même plusieurs personnages de ses rêves à l’aide des techniques du mime ; la prestation filmée fait ensuite l’objet d’un montage vidéo. C’est une autobiographie de sa vie onirique, une recherche sur le processus du souvenir.

Il a reçu plusieurs prix pour ses expositions dont ceux du Art Space de Séoul et de la Korea International Arts Fair (KIAF) de Séoul pour son portfolio en 2008. Après avoir suivi des études d’arts à Séoul, il a été diplômé de l’ENSAD, Ecole nationale supérieure des arts déco. de Paris en 2003. Il enseigne à la Seoul Women’s university.

Cette année il a exposé à la galerie Munhwailbo à Séoul et en décembre à la galerie Pig, notamment les oeuvres graphiques que l’on peut retrouver dans Dharma Poèmes.

 

Publications :

Illustrations