Archives mensuelles : juin 2010

Un article dans la Provence

Il y a une quinzaine de jours, deux charmants libraires de Salon de Provence, nous recevaient en compagnie de nos amis des éditions Netscripteurs et Nostradamus à La portée des mots.

Nouvelles rencontres et retrouvailles, donc, dans un cadre très agréable, une belle librairie pluraliste, qui propose aussi à la vente d’autres produits culturels. La portée des mots a une philosophie clairement indépendante quant aux ouvrages, à la littérature qu’elle aimerait faire découvrir à ses clients qui y trouveront un accueil chaleureux et de bons conseils. Les Salonais ont bien de la chance.

Au cours de l’après-midi, une journaliste de la Provence, édition de Salon de Provence, est venue nous interviewer. Voici un scan de la page 4, où figure l’article relatif à cette rencontre : la_provence_salon_24_06_2010.pdf

Encore merci à tous, collégues, libraires, lecteurs et journaliste pour ces bons moments.

Sélection des textes pour l’anthologie Mystères et Mauvais Genres

Depuis la fin mai, le comité de lecture travaillait sur les quelques 86 textes reçus dans le cadre de l’appel à textes “Enquêtes, mystères et mauvais genres”. Merci à tous les participants !

Une quinzaine de jours supplémentaires nous aura été nécessaire pour parvenir à cette liste de textes pré-sélectionnés pour constituer notre future anthologie :

  • En l’honneur d’Emily de Sébastien Ruche
  • La flaque à côté de l’arrêt d’autobus de Christophe Nicolas
  • L’âme damnée de Yeun de Arnaud Cabanne
  • La mélodie du malheur de Michaël Moslonka
  • Latombe, victime professionnelle de Guillaume Suzanne
  • Le corail d’Altawyris de Bruno Grange
  • Le Marchand de secrets de Pierre Benazech
  • Les larmes du poète de Gabriel Féraud
  • L’inspecteur Bernère contre la mort de David Osmay
  • Pandémonium City de Anne Goulard
  • Quinte Flush de Richard Mesplède
  • Samba Luna de Ombeline Duprat
  • Un homme fort de Cyril Carau
  • Une aventure de Romane Lupin et Don de Tuatha de Lucie Chenu
  • Vade retro satanas de Aurélie Wellenstein

Dirigée par Elie Darco, cette anthologie de 15 nouvelles devrait paraître en novembre 2010.

Parution de la Rivière du Crépuscule de Lee Gil-won

Chers lecteurs, nous annonçons avec plaisir la parution officielle de notre quatrième ouvrage :

La Rivière du Crépuscule, un recueil de poésie naturaliste de Lee Gil-won, poète coréen reconnu et primé.

  • Format spécial : 12,5 x 21 cm
  • 88 pages
  • collection : oriflammes
  • 50 poèmes
  • une trentaine de photographies en Noir et Blanc de Antoine Coppola
  • le prix : 10 € (frais de port compris pour la France Métropolitaine)

Il est à commander dès à présent dans notre boutique

Voici le quatrième de couverture :

Suivre l’exemple de la rivière du crépuscule, méditer sur un nuage, écouter le conte de la fleur, les avertissements des cigales, ou dire simplement ce qu’on a sur le coeur.

À travers sa poésie Lee Gil-won observe le quotidien avec un humour et un franc-parler particulier, un peu à part de la mouvance naturaliste moderne. Il aime célébrer les beautés de la nature, visibles ou mystérieuses comme autant de manifestations organiques de la société.
Avec ce recueil, il convie le lecteur à se nourrir d’une poésie de l’instant vivant, des connivences tristes, des vérités de l’existence ou de la joie hédoniste.

La rivière du crépuscule se compose de cinquante poèmes de Lee Gil-won, traduits pour la première fois en français, illustrés par une trentaine de photographies d’Antoine Coppola.

Des extraits sont à découvrir dans la fiche catalogue.

Lee Gil-won

Dans sa jeunesse, Lee Gil-won a participé à de nombreuses revues de poésie et a publié dans le célèbre Poetry Magazine. Auteurs de plusieurs recueils parus en Corée du Sud et aux Etats-Unis, il a aussi reçu de nombreux prix.

Sa poésie naturaliste se distingue des autres auteurs de cette mouvance par son humour noir qui éclabousse le non sens des petits gestes humains. Il célèbre les beautés naturelles, d’autant que la nature apparait pour lui comme une métaphysique de la société, de même qu’un miroir apaisant à ses angoisses.

Raisonnements humanistes, moralistes, personnels, sensibles, drôles parfois, les poèmes de Lee Gil-won sont criants de vérité et de vitalité.

Il préside actuellement le centre coréen de L’International PEN, et deux associations d’auteurs : la Korea Poets Association et la Korean Writers Association.

 

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Poèmes :